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La grande vile
C'est en allant rendre visite à mes enfants à Villeurbanne que cette histoire m'est venue. De plus ils venaient de m'offrir cette excellente bande dessinée : 1984 de George Orwell et de Xavier Coste aux éditions Sarbacane... Il n'en fallu pas plus.
Un jour pousse l'autre
Entre les deux, la nuit
juste pour l'oubli
Perdus dans la ville
Ou les tours se dressent
Étouffantes de paresse
Prisons sans compassion
Germes de la consommation
Église de la pensée unique
ILS marchent dans la cité
Ignorant tout de leur cécité
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Commentaires
Un univers aveugle à la Orwell. Ne manquent plus à ce tableau inquiétant, que le ministère de l'Amour et celui de la Vérité !
J'apprécie ton petit quatrain, décapant à souhait
À bientôt
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Lundi 8 Avril à 14:22
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Bonjour,
ces cités, ou cécitéeh eh eh
merci de ce moment en ville ou en vrille
Vendredi est là
Je passe souhaiter
A vous les amis de belles journées
Pour ce weekend plein de joies
Le temps tourne au printemps
En cette hivernale saison
Bizarres que sont ces moments
Où les temperatures sont en élévation-
Lundi 8 Avril à 14:32
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J'aime beaucoup la chute de ton texte, criante de vérité... Nous sommes plus apaisés dans notre campagne où les tours deviennent arbres et les cris, chants d'oiseaux. .Est ce que je pourrai t'emprunter ton texte pour le mettre sur ma page de garde de mon blog ?
très occupée par la famille qui vient de repartir et d'autres occupations de l'agenda, je ne t'oublie pas ainsi que C.. Je reprendrai contact bientôt..
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Lundi 8 Avril à 14:28
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Ce n'est pas vraiment ainsi la Vie dans ces citées ...
Y'a de la Joie aussi comme partout
Il fait beau enfin ,
J'attendais ce printemps avec impatience , j'ai une autre vision ainsi
Je t'embrasse Ami
Merci de ton passage dans un endroit où il ne se passe plus grand chose
Oui, il y a de la joie aussi, c'est sûr, dans les cités, J'ai écrit ce texte à Villeurbanne, une ville très particulière (formée de gratte-ciels) où les habitants de différentes communautés semblent vivre en bonne harmonie, j'avais probablement beaucoup de vague à l'âme... ou peut-être qu'il y a maintenant trop d'urbanité pour moi. Serais-je devenu un vieil ours infréquentable..
Ici, Dans ma Charente, le printemps est revenu... la température est douce mais il pleut encore beaucoup.
Et toi, comment vas-tu, quoi de neuf par chez toi ?
Je t'embrasse